Catherine Repond alias la Catillon, de Villarvolard, est suspectée de sorcellerie à Corbières et conduite à Fribourg, où elle est interrogée et torturée à plusieurs reprises, et passe aux aveux. Elle est condamnée au bûcher, mais bénéficie d’une mitigation de peine : elle est étranglée avant d’être brûlée. Durant son procès, Catherine est confrontée à Jacques Bouquet, qu’elle a notamment accusé de fabriquer de la fausse monnaie. Ce dernier est libéré, mais doit jurer un ourféhdé. La soeur de Catherine, prénommée Marguerite, est aussi inquiétée pour motif de sorcellerie. Elle fera l’objet d’un procès dix ans plus tard (voir SSRQ FR I/2/8 208.0-1).